La Crise de Guérison

En voilà une drôle d'expression !
Une expression qui fonde pourtant tout son sens et sa raison d'être dans le monde des soins énergétiques.

Tant de personnes sont aujourd'hui concernées que j'ai souhaité vous livrer, avec beaucoup d'humilité, les informations suivantes :

Je reçois parfois des patients qui ont dû prendre leur courage à 2 mains et laisser passer un laps de temps important avant de reprendre rdv auprès d'un énergéticien.

L'après soin, s'est pour certains, très mal passé avec différentes manifestations corporelles et/ou émotionnelles apparues dans les jours suivant le rendez-vous.

Malheureusement, l'ego et le mental apparaissent souvent et font alors "barrières" entre le consultant et l'énergéticien pour demander les explications de compréhension nécessaires à ce mal-être...

- Pourquoi je vais mal et pas l'inverse ?
- Que m'a t'il fait ?
- Que va t'il penser si je l'appelle alors que ça ne va pas ?
- Pourquoi suis-je le ou la seule sur qui les effets du soin ne sont pas bénéfiques ?

Tout se traduit alors finalement par l'interprétation d'une expérience négative ! Et pourtant...

Oui il y a bien sûr dans ce milieu, des hautes et des basses vibrations, mais cette différence et parfois dualité vibratoire est omniprésente sur Terre, que cela concerne les personnes ou les lieux.

Lorsqu'un soin énergétique complet est transmis, une période d'intégration d'environ 21 jours est à prendre en considération par le receveur.

Durant cette période, il faut savoir que les mémoires cellulaires, fraîchement "réinitialisées" (par le biais de la fréquence énergétique de guérison employée) vont se libérer, se décharger naturellement de tout ce qui ne convient désormais plus à leur évolution.

Je l'apparente souvent à un vieux moteur thermique qu'on démarre au moyen d'un lanceur. Il tousse à plusieurs reprises, évacue des particules de gaz et poussières apparentes au démarrage pour au final fonctionner en proposant le rendement optimal pour lequel il a été fabriqué.

La crise de guérison peut se traduire dans les 21 jours par une ou parfois plusieurs des manifestations physiologiques suivantes :

* Fatigue générale
* Maux de tête
* Fièvre
* Dérangement intestinal
* Décalage du cycle menstruel chez la femme

Mais également par des manifestations émotionnelles d'ordre négatif demandant à s'exprimer une fois pour toute afin de s'en libérer (colère, peur, culpabilité, honte, tristesse, angoisse, pression, frustration...).

Par expérience, la crise de guérison survient environ 2 à 3 fois sur 10 soins ; ce qui signifie qu'elle n'est pas systématique et qu'il n'est pas obligatoirement nécessaire d'aller MAL pour allez MIEUX.

On ne peut pas "prédire" une crise de guérison car elle dépend simplement du degré de sensibilité et de la capacité d'assimilation énergétique qui appartient à chacun.

Durant la période d'intégration, il est en revanche possible de favoriser l'assimilation du soin énergétique par des pratiques simples permettant de limiter l'apparition de la crise de guérison mais également d'en réduire les effets si elle survient.

Je vous invite à :

* Boire plus que d'habitude, eau et tisanes, tout ce qui draine et détoxifie
* Pratiquer le bain avec du gros sel à l'issue du soin et dès que vous vous sentez "chargé" ou diminué durant la période d'intégration
* Reprendre contact avec la nature, capable à elle seule de purifier en profondeur votre aura et les corps énergétiques qui la composent
* Faire évoluer votre alimentation vers davantage de cru pour les fruits et légumes, ce qui favorisera l'élévation de votre taux vibratoire
* Vous accorder un temps de méditation, de repos ou de calme quotidien

Enfin j'aimerais attirer votre vigilance sur la dangerosité des "cocktails énergétiques".

Un peu d'indulgence et de douceur avec notre être qui a besoin d'un laps de temps suffisant pour intégrer le traitement énergétique prodigué.

Je déconseille donc fortement d'avoir recours à plusieurs pratiques énergétiques de fréquences différentes durant la période d'intégration des 21 jours.

Avec Amour & Lumière.

Nicolas CHEVRIER

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